Difficiles à quantifier, les violences sexuelles entre très jeunes enfants à l’école inquiètent les parents. Si les enquêtes sont plus nombreuses, les poursuites restent rarissimes.
Car s’il n’existe pas en France d’âge minimum pour engager des poursuites contre un enfant : il faut que son discernement soit retenu par la justice. « Cela suppose que le mineur a eu conscience de commettre une infraction et qu’il ne s’agissait pas d’un jeu sans conscience de la dimension sexuelle », explique Youssef Badr, porte-parole de la Chancellerie.
Un tabou ? En tout cas, au ministère de l’Education nationale, les agressions entre enfants ne sont pas recensées en maternelle et en élémentaire.
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